Ingrédients pour 8 pers.

Pour la première couche

100 g de sucre en poudre

Pour la deuxième couche

2 œufs
70 g de sucre en poudre
120 g de farine
80 ml (g) de lait entier
2 cuillères à soupe de cacao non sucré
1 cuillère à café rase de levure chimique
70 g de beurre fondu

Pour la troisième couche

3 œufs
1 boîte de lait concentré sucré (397 g)
400 ml (g) de lait entier
1 sachet de sucre vanillé

Préparation

Pour la première couche : verser le sucre dans une casserole et sans rien d’autre faire chauffer jusqu’à obtention d’un caramel doré (à la fin on peut remuer avec une spatule en bois).

Verser le caramel brûlant dans le moule. Répartir le caramel en tournant le moule et en le tenant avec une manique ou un torchon plié en plusieurs épaisseurs. Réserver.

Préchauffer le four au th. 6 (180°C). Pour la seconde couche : mélanger le sucre et les œufs au batteur à œufs.

Ajouter la farine.

Ainsi que les 2 cuillères à soupe de cacao. J’ai utilisé les “spoons” américaines ou tbsp (tablespoon= la plus grande taille des cuillères mesures) remplies et arasées.

Mélanger au batteur pour obtenir une texture homogène.

Incorporer le lait à la préparation.

Faire de même avec le beurre fondu.

Verser la seconde couche sur la première couche au caramel. Réserver.

Pour la troisième couche : verser la boîte de lait concentré sucré dans un saladier ou un cul-de-poule.

Puis verser le lait frais.

Ici j’ai ajouté un sache de sucre vanillé car je n’avais pas d’extrait de vanille liquide. L’un ou l’autre ça marche très bien ?

Mélanger au batteur pendant au moins 5 minutes pour que tout soit bien mélangé. Verser l’appareil dans le moule en le versant sur le dos d’une cuillère afin de ne pas trouer la pâte au cacao.

Déposer le moule sur un moule plus grand (ici plaque à pâtisserie). Remplir le plus grand moule d’eau pour faire un bain-marie. Enfourner pour 40 minutes. Au début le flan est au dessus…

Et à l’arrivée c’est le gâteau au chocolat qui a pris le dessus ? Laisser totalement refroidir et passer une nuit au frais avant de démouler.

Voici une part de ce gâteau impossible. On dit que “impossible n’est pas français” et là tout à coup c’est bien dommage ?